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En guise d’introduction
à l’histoire de l’École d’Aigremont

La maison d’école : c’est ainsi qu’on appelait alors les locaux scolaires. Où était située cette école au début du XIXe siècle ? Je n’ai pu en retrouver la trace : la seule information que nous ayons, est que les parents se plaignaient que l’école soit à une extrémité du village.

La première maison d’école :
ce pauvre local où s’étiolent une vingtaine d’enfants des deux sexes.

Voici la description de cette première école, dans un rapport de l’inspecteur primaire du 1er juillet 1844 : « La maison d’école est en location pour 75 francs sans bail. C’est une masure mal close, mal couverte, que le propriétaire ne tient pas à louer à la Commune, aussi n’y fait-il aucune réparation. Le logement est aussi misérable que la classe qui est séparée par une cloison, séparation plus nuisible qu’utile. J’en ai conseillé la suppression, afin qu’on puisse voir, respirer et circuler dans ce pauvre local où s’étiolent une vingtaine d’enfants des deux sexes. Inutile de parler des résultats de la classe d’Aigremont aussi pauvre de produits moraux que d’objets mobiliers. La malheureuse institutrice fait de son mieux. » Le Conseil Municipal lut ce rapport en séance et « considérant que le local de la classe actuel est insalubre et qu’il y a urgence à changer, que d’un autre côté il ne se trouve dans la commune aucun autre local plus propre. Après s’être transporté sur les lieux, a décidé :
l°) Que la classe serait placée dans une chambre du ler étage et qui se trouve située au-dessus de la classe actuelle, que cette pièce serait aérée par deux grandes fenêtres opposées, l’une au nord l’autre au midi.
2°) que l’autre chambre et les pièces du rez-de-chaussée seraient laissées à la disposition de l’institutrice.
3°) que le prix de location serait augmenté de l’intérêt à 7,5 % du montant des dépenses qu’occasionnent ces divers changements... »

Toutefois ces déménagements ne semblent guère améliorer la situation puisque la Préfecture écrit au Maire le 1er juillet 1845 : « J’ai l’honneur de vous communiquer les observations qui résultent de la dernière inspection de l’école... L’école est dans un état déplorable, et toute une génération d’enfants vient puiser, dans ce local insalubre, la source de maladies et d’infirmités. Ceci est fort grave, et je vous engage à en entretenir sans délais le conseil municipal. Il faut absolument une autre maison d’école et fermer celle qui existe. »

La deuxième maison d’école : accès facile, saine et bien aérée...

En 1850, la mairie se décide à chercher de nouveaux locaux et le 17 novembre : « Ouï les observations de M. le Maire relativement à la location de l’école actuelle, desquelles il résulte que la maison actuelle d’école n’est convenable ni pour la salle de classe ni pour le logement de l’instituteur et en outre ladite maison se trouvant à l’extrémité du village et d’accès difficile, beaucoup de parents n’envoient pas pour cette raison leurs enfants à l’école. De plus, une occasion favorable se présente pour louer une maison bien convenable et située dans le milieu du village... d’un accès très facile, très saine et bien aérée et de plus le prix demandé n’est pas plus élevé que celui de la maison actuelle... propose de louer au nom de la Commune pour un bail de 9 années à partir du ler janvier 1851 au prix de 100 F. compris les portes et les fenêtres (il s’agit de l’impôt, NDLR), la maison appartenant à M. Willamier... » Il s’agit du bâtiment de l’ancienne mairie, Grande-Rue, qui restera donc école pendant près de 120 ans.

Achat de l’école

Le 13 avril 1859« Le Maire expose... le besoin qu’a la Commune de posséder une maison d’école où l’on puisse, par la suite, avoir une salle de mairie dont l’utilité a si souvent été reconnue. Il a fait savoir que la maison servant actuellement de maison d’école était sur le point d’être vendue et qu’il serait très avantageux pour la commune d’en faire l’acquisition puisqu’il n’y a plus que 2 ans de bail ; que dans cette prévision il avait obtenu de la veuve Mesnil qui en est propriétaire une promesse de vente moyennant la somme de 3.500 F... »

Transformation et aménagement

C’est en deux étapes, en 1861 et 1873 que cette maison va être complètement remaniée :
1866 : la salle de classe va être transférée du côté gauche sur le côté droit.- 1873 : c’est à cette date que vont être entrepris les travaux de transformation du logement de l’instituteur et de surélèvement de la façade pour une somme de 2.500 F., qui vont donner à l’école son aspect actuel. En effet, la maison n’avait pas du tout l’aspect qu’elle présente aujourd’hui : En regardant la façade depuis la rue, la partie à droite de l’horloge avait la hauteur actuelle (voir les plans en annexe) : au rez-de-chaussée il y avait le logement de l’instituteur et au 1er étage la salle de Mairie. En revanche la partie à gauche de l’horloge, bien qu’ayant aussi un étage, était beaucoup plus basse : c’était là au rez-de-chaussée, en 1861, que se trouvait la salle de classe, à la place de la pièce et de la cuisine actuelle. L’escalier était à l’extérieur dans la cour. Il va donc être supprimé, reconstruit à l’intérieur, et la partie basse à gauche de la façade sera donc surélevée et uniformisée.
1876 : La cour de l’école est pavée par l’entreprise Dailly « entrepreneur de Pavage à Poissy » ; le mur de clôture qui séparait l’école de la rue est abattu et un mur bas surmonté de la grille actuelle est construit. L’école-mairie a désormais l’aspect que nous lui connaissons actuellement.

La discipline : Dans les Ecoles évoluées, comme celles des Frères des Ecoles Chrétiennes, les châtiments corporels deviennent très rares à partir du XVIIIe siècle. Jean-Baptiste de la Salle, créateur des Frères des Ecoles Chrétiennes recommandait : « Il faut frapper dans la main gauche, surtout ceux qui écrivent, afin de ne pas appesantir la main droite, ce qui serait un grand obstacle à l’écriture. » Toutefois dans les Petites Écoles rurales où les maîtres sont en général peu formés, les châtiments corporels se maintiendront jusqu’au milieu du XIXe siècle.

Rossé au nerf de boeuf : Agricol Perdiguier dans « Les Mémoires d’un Compagnon » (1820) nous en fournit un exemple : « Le vieux M. Médan était à la fois médecin et instituteur et il n’y allait pas par quatre chemins, ni avec ses malades, ni avec ses élèves. Il disait aux malades : ce remède peut vous sauver ou vous tuer ; avalez-le vite et que votre sort s’accomplisse ! Pour ses élèves, il avait des mains dures, des férules, des courroies ou sorte de tire-pied de cordonnier, des nerfs de bœuf. L’écolier lisait-il mal ? un soufflet ; regardait-il à droite ou à gauche ? un coup de courroie ; faisait-il du bruit ? le nerf de bœuf allait son train. La férule, de son côté, se reposait rarement ... M. Médan nous assassinait et nos familles en étaient peu satisfaites. Mais il n’y avait pas le choix : il était le seul instituteur du village ; il fallait que nous fussions battus ou que nous restassions complètement ignorants. »

Bernardin de Saint Pierre expliquait la permanence des châtiments corporels par le poids de la tradition : « Nos paysans sont barbares et c’est leur éducation qui en est la seule cause. Souvent ils assomment de coups leur âne, leurs chevaux, leurs chiens et quelquefois leurs femmes, parce qu’on les a traités de même dans leur enfance. Les pères et les mères, trompés par des maximes prétendues religieuses, recommandent soigneusement dans les écoles qu’on corrige leurs enfants, c’est-à-dire qu’on les élève comme on les a élevés eux-mêmes. »

La fessée de Jean-Jacques Rousseau. Les verges, c’est-à-dire le fouet, disparurent en 1774 des collèges des Frères des Écoles Chrétiennes. Dans les Petites Écoles ou dans les familles, elles subsistèrent longtemps et la Comtesse de Ségur sous le Second Empire nous laissera le portrait de grands fesseurs avec la Mère Mac-Miche ou le Général Dourakine. Une des raisons de leur disparition fut sans doute qu’elles pouvaient être détournées de leur but de punition. Voici le récit que nous fait J.J. Rousseau de sa célèbre fessée dans les Confessions. Il était en pension avec son cousin chez le Pasteur Lambercier dont la sœur, Mlle Lambercier, tenait le ménage et était aussi chargée de corriger les jeunes élèves. Un jour elle menaça Rousseau du fouet : «  Cette menace de châtiment tout nouveau pour moi me semblait très effrayante ; Mais après l’exécution je la trouvais moins terrible... j’avais trouvé dans la douleur, dans la honte même, un mélange de sensualités qui m’avait laissé plus de désir que de crainte de l’éprouver derechef de la même main... Cette récidive arriva sans qu’il y eut de ma faute et j’en profitai, je puis dire, en sûreté de conscience. Mais cette seconde fois fut aussi la dernière, car Mlle Lambercier, s’étant sans doute aperçue à quelques signes que ce châtiment n’allait pas à son but, déclara qu’elle y renonçait et qu’il la fatiguait trop. Nous avions jusque-là, mon cousin et moi, couché dans sa chambre, et même en hiver parfois dans son lit. Deux jours après, on nous fit coucher dans une autre chambre. J’eus ainsi l’honneur dont je me serai bien passé, d’être traité par elle en grand garçon. »

À coups de férule sur le dos de Chateaubriand. Il raconte dans les Mémoires d’Outre-Tombe qu’il dénicha un jour un nid-de-pie. Son Précepteur, l’abbé Egault, lui administra une correction qui dégénéra en pugilat : « Je me levai plein de rage et lui lançai dans les jambes un coup de pied si rude qu’il poussa un cri. Il court à cloche-pied à la porte de sa chambre, la ferme à double tour et revient sur moi. Je me retranche derrière mon lit, il m’allonge à travers le lit des coups de férule. Je m’entortille dans la couverture et m’animant au combat je m’écrie : « Macte animo generose puer ! » (Courage valeureux enfant !) Son érudition et son esprit d’à propos lui valurent son pardon.

Les fournitures scolaires

L’encre. Jusque vers le milieu du XIXe siècle, l’encre est directement fabriquée par les instituteurs. Les recettes varient suivant les régions. Le manuel de « L’école paroissiale » nous en donne une : « La liqueur employée pour écrire ne doit pas être trop épaisse, ce qui donne des traits pâteux ; ni trop liquide, car elle risque alors de produire des tâches appelées "pâtés". L’encre se compose ordinairement avec du vin blanc, ou de l’eau de pluie, ou de la bière, dans laquelle on fait macérer un demi-quarteron de noix de galle. Après ébullition, ajoutez-y un demi-quarteron de couperose broyée et environ une once de vraie gomme d’Arabie. Faites encore deux ou trois bouillons et l’encre est prête à l’emploi. » Les « Dialogues de Vivès » en 1567 nous parlent ainsi des encriers : « Garçons ! apportez cette bouteille à encre. Nous en viderons dans un encrier en plomb, le tout bouché avec un petit linge délié ou du taffetas doux et tendre. »

Le buvard. Pendant des siècles, le buvard n’existe pas. On utilise de la « poudre », c’est-à-dire du sable, pour éponger l’excès d’encre. Les riches y mêlent de la poudre d’or, ce qui donne du brillant à leur écriture. Dans les écoles, on se contente de sable ordinaire que les élèves puisent dans « la caisse à sable ». On en met un peu dans sa paume, et l’on souffle dessus en direction de la page franchement écrite. Mais le sable a bien des inconvénients : il encrasse les plumes d’oie et fournit un matériau pour les chahuts et les bagarres. En 1830, le manuel « La conduite des écoles » recommande l’usage du « papier non collé » qui prend l’encre facilement et est en mesure de sécher sans brouiller la page ; on le nomme « papier brouillard ». Ce n’est que plus tard qu’on l’appellera papier buvard.
L’ardoise. L’ardoise pour écrire existait depuis longtemps. Mais ce n’est que vers 1820 que le Suisse Pestalozzi l’introduisit dans les écoles primaires. Elle était en effet moins chère que le papier et plus commode que le bac avec du sable sur lequel on écrivait parfois encore avant la Révolution. Toutefois, au début, bien des instituteurs la boudent. L’un d’eux écrit vers 1830 : « L’ardoise rend l’écriture rapide et sèche en ne permettant pas de former les pleins et les déliés. » Elle ne deviendra courante qu’à partir de 1850 et constituera l’instrument par excellence des élèves à la fin du siècle jusque dans les années 1950. C’est sous le Second Empire que des circulaires administratives interdiront aux élèves de cracher sur l’ardoise pour l’effacer ensuite avec leur manche. C’est en effet le début de la grande peur de la tuberculose véhiculée par la salive : le chiffon ou la petite éponge font leur apparition.

« C’étaient vraiment de grandes bêtes que les Régents du temps jadis. »

Jusqu’à la Restauration, les maîtres des Petites-Écoles que l’on appelait « Régents », étaient recrutés par les représentants des Paroisses lors des grandes Foires du mois de Septembre. Les postulants se rassemblaient en arborant une plume à leur chapeau s’ils « enseignaient à lire » et deux plumes s’ils « enseignaient aussi à écrire ». Ils s’affrontaient au cours de joutes oratoires « la dispute des écoles », devant un jury de notables et des curés de l’endroit. Ils étaient embauchés et payés par les habitants, les paroisses les plus riches prenant bien sûr les plus savants. Les enfants de ceux qui ne pouvaient pas payer, étaient le plus souvent pris en charge par la collectivité. N’étant sanctionnés par aucun diplôme, leurs capacités étaient très inégales et bien souvent dans les paroisses pauvres leur science était plus que sommaire. Témoin ce jugement lapidaire du poète Clément Marot en 1510 : « C’étaient vraiment de grandes bêtes que les Régents du temps jadis. »

À la veille de la Révolution, la situation n’avait pas beaucoup évolué car Delille ironisera en ces termes sur les Régents : «  Mais le voici : son port, son air de suffisance Marquent dans son savoir une noble confiance. Il sait, le fait est sûr, lire, écrire et compter ... Tout le monde l’admire et ne peut concevoir Que dans un cerveau seul, loge tant de savoir... »

Le « Journal du département de Seine-et-Oise » rédigé par le citoyen Brière, publie le 10 Vendémaire An VII la petite annonce suivante : « La citoyenne veuve Cassaignade, rue des Ecuyers numéro 5 à Saint-Germain-en-Laye, prévient ses concitoyens qu’elle tient une maison d’éducation où elle enseigne la couture, la lecture, l’écriture, l’arithmétique, l’orthographe, les éléments de la langue française, la géographie, la mythologie, les devoirs des parents. La citoyenne Cassaignade procure des maîtres pour les talents agréables. »

En 1816 est institué le Brevet de Capacité, et en 1833 sont créées les Écoles Normales : le niveau des instituteurs s’élèvera sans cesse au cours du XIXe s., mais assez lentement comme en témoigne ce Rapport d’inspection d’Académie de Blois qui trace le portrait-robot de l’instituteur de la région : « Homme d’importance d’autant plus grande que sa nullité est plus complète, singeant dans ses poses le Curé de la Paroisse dont il est le Sacristain ... revêtant la dignité de M. le Maire dont il constitue le plus humble serviteur... remplissant avec orgueil les fonctions de Garde-Champêtre... connu des bons viveurs de la Commune et apprécié de tous les cabaretiers ... »

Les métiers annexes de l’instituteur

Très mal payés jusqu’au milieu du XIXe siècle, les instituteurs pratiqueront des métiers annexes. À tel point que sous l’Ancien Régime de nombreux règlements seront pris, comme ce Règlement Épiscopal de 1695 qui interdit aux Régents « de pratiquer aucun office de Procureur (avocat), Praticien (médecin), sergent, cabaretier et joueur de violon, incompatibles avec leur fonction. » Au début du XIXe s., ils seront souvent adjoints du Curé, puis secrétaire de Mairie vers la fin du siècle. Claude Herbin instituteur à Aigremont en 1880 gagne 1.200 francs, plus 120 F. comme clerc laïque (adjoint du curé), 50 F. comme sonneur de l’Angélus, et 265 F. comme secrétaire de Mairie.

L’instituteur comme clerc laïque. L’enquête de Lorrain en 1637 en donne la définition suivante : « Il est chargé d’assister le Curé et l’accompagne dans l’administration des sacrements, soit de jour soit de nuit. Il est chantre à l’Église et assiste aux offices revêtu du surplis en entonnant les chants pour entraîner les fidèles. Il joue les claviers (organiste). Il fabrique parfois les hosties, règle le lutrin, allume la lampe devant l’autel, remplit le bénitier, met en bouteille le vin de messe, balaye l’église en n’omettant pas de passer le torchon sur les gradins de l’autel, le tabernacle, la grille et la chaire. » En tant que « sonneur de l’Angélus... il n’omettra pas de régulièrement sonner tous les jours l’Angélus, matin, midi et soir ; de carillonner toutes les veilles de fêtes midi et soir et de prendre garde que les enfants ne sonnent ni ne carillonnent la cloche afin d’éviter aux accidents. (Sic !) Il devra aussi sonner aux nuées lorsqu’il se présentera un orage, soit de jour soit de nuit. Le Magister sera tenu de sonner tant que l’orage arrivera sur le village, si cas y échet, et lorsqu’il s’apercevra que l’orage se disposera à tomber sur la paroisse, d’arrêter de sonner attendu qu’on ne doit point sonner quand le tonnerre est proche » (contrat de Régent de 1680).

L’instituteur secrétaire de Mairie. Dans de très nombreux villages, il occupera également cette fonction. Ce sera le cas à Aigremont jusque dans les années 1980. À ce titre, il tient les Budgets, l’État-Civil, et les Compte rendus du Conseil Municipal. Il « conduit l’horloge de la mairie » et il est arpenteur municipal.

Rapport de l’instituteur et du Curé au début du XIXe siècle

L’instituteur est souvent l’adjoint du Curé lorsqu’il exerce des fonctions de Clerc-Laïque. De plus le Curé joue un grand rôle dans le recrutement de l’Instituteur et dans la surveillance et l’inspection des écoles. L’Instituteur est chargé de l’enseignement religieux et du contrôle de l’assiduité des enfants à la Messe. Les rapports sont souvent très bons, mais parfois détestables.
En voici deux exemples :
En 1834 en Dauphiné, un instituteur est arrêté pour avoir voulu pendre son Curé avec la corde de la cloche.
En 1832 un instituteur sera révoqué pour avoir manifesté son désaccord avec son Curé en donnant le problème suivant à ses élèves : «  Un Curé a vendu dans le courant d’une année dix-neuf messes de mariage à 7,15 F., dix messes de trépassés à 5 F. ; Il a vendu à chaque messe cinquante deux « Pax Tecum » à 3 sous la pièce, quatorze « De Profondis » à 3 sous et sept « Libera Nos » à 5 sous. Combien a-t-il gagné d’argent avec ces marchandises ? »

La Brochure publiée dans les années 80 est en cours de numérisation. Elle retrace l’Histoire complète de l’école d’Aigremont sur un siècle et demi, de la Révolution aux années 1950. Dès que la numérisation sera terminée, vous pourrez la télécharger gratuitement en PDF sur ce site.

Causerie de F.M. Legœuil à la Mairie d’Aigremont en octobre 1986
introduction à la publication de sa brochure « L’école d’Aigremont »