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Danse Macabre
quatrième de couverture

Un grand roman historique de la Guerre de cent ans dans l’ouest parisien. 
En février1358, Anselme d’Aigremont, chevalier sans reproches et cadet sans fortune rentre de captivité qui suivit la funeste défaite de Poitiers où la fleur de la chevalerie française avait péri et le roi Jean Le Bon capturé.

C’est alors que tout va commencer…
Pendant les quelques mois que couvre le roman, (hiver, printemps 1358) le jeune Anselme fut mêlé à tous les événements violents qui ensanglantèrent alors la région : occupation de Poissy par les Anglais du Prince Noir, passage dévastateur des Grandes compagnies, répression de la grande Jacquerie par Charles le Mauvais de Navarre, soulèvement, dictature et assassinat du prévôt des marchands de Paris, Étienne Marcel... évènements tragiques sur lesquels se greffent la recherche d’un très hypothétique trésor du Temple...

Simple récit picaresque de cape et d’épée ?

Tous les ingrédients s’y retrouvent : trafiquants de reliques, moines défroqués, saints prêtres inspirés, brigands retords et sanguinaires, pèlerins professionnels, kabbalistes savants et tatillons, harponneurs de baleines, charbonniers rebouteux, devineresses héréditaires, lépreux physiciens, tailleurs de pierres hallucinés, gâte-sauces parlant hébreu, grands seigneurs insolents et magnifiques, paysans révoltés en sabots... Tous ces personnages vivent passionnément, s’amusent, se battent, s’aiment et meurent, le plus souvent avant l’âge et presque toujours de mort violente.

Ne s’agirait-il pas plutôt d’un récit initiatique ?

Peut-être… On y aime à toucher de douteuses reliques ; tout y est occasion pour s’agenouiller et prier. Croix et statues y peuplent à l’excès un de ces paysages gothiques que l’on croirait sortis de la plume d’Aloysius Bertrand. À chaque carrefour, un calvaire interpelle le passant : « Quelle que soit la direction que tu prendras, fais ton choix sous le regard de Dieu ! »
Mais malgré ces croix et ces prêtres, la nuit du plat pays attire encore invinciblement le vilain autour de ces pierres levées païennes si compatissantes au malheur des humbles ; les fontaines sacrées, si compréhensives aux petits, ramènent à chaque nouvelle lune autour de leurs margelles, la horde des tourmentés, des brisés et des exclus de l’existence.

C’est un récit où se disputent dans la violence des passions, de savantes et tortueuses joutes en Sorbonne, où se concoctent des philtres d’amour et de mort, où l’on voit se nouer les trahisons les plus sordides et se dissoudre les fidélités les plus fortes.

Récit initiatique, vraiment ?

Disons simplement qu’il décrit un monde où la vie et la souffrance ne valent rien, mais où l’irrésistible attrait de l’au-delà affleure dans chaque action. Un parfum violent et tenace se dégage de chacune de ces pages, l’arôme même des années treize-cent. Pourtant, ce n’est pas dans ces aventures échevelées ou dans ces personnages bigarrés qui après tout constituaient l’ordinaire des contemporains que réside l’attrait du roman que vous allez lire. Non !...

À vous de voir... Vous pouvez télécharger gratuitement le roman en cliquant sur le lien ci-dessous :

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